A propos d'OAÏ

Inspirée d’une vie nomade et du courant minimaliste, je lance OAÏ en 2018 au retour de deux années à documenter les cultures du monde.

Un long voyage au cours duquel je me pose des mois durant dans des villages d’Asie, d’Afrique, des Caraïbes et des Amériques pour vivre au rythme de la vie locale et soutenir des projets sociaux ou environnementaux.

Il faut se déplacer léger, utile et concis – car tout ce que tu ne peux pas porter ou ré-utiliser reste derrière toi et ne sera pas recyclé. On adopte de nouvelles habitudes durables et on s’attache aux essentiels.
Dans ces pays dont l’eau n’est pas potable, une bouteille réutilisable devient rapidement un élément non négligeable de mon kit de digital- nomade. Aussi je réalise le confort tellement sous-estimé que nous offre l’eau potable en occident.

Je rentre en 2017 et retrouve le travail que j’avais mis en suspens : Accompagner un artiste sur ses tournées de concerts, le tour-bus et la route, les festivals et l’abondance qui en découle.

OAÏ nait de l’envie naturelle de lier ces deux univers qui faisaient mon quotidien : Le monde du spectacle vivant et la culture du minimalisme et de l’essentiel – La vie nomade, zen et consciente.

OAÏ veut proposer des alternatives éco-responsables et durables aux nomades. Accompagner, engager et inspirer de nouvelles habitudes de consommation.

Finalement, OAÏ s’adresse à tous : Aux esprits qu’il faudra ouvrir et aux barrières qu’il faudra chevaucher.. Mais aussi et surtout à ceux qui partagent la même vision.